Beaucoup en rigolent quand cela arrive, mais une frappe non cadrée peut avoir des conséquences autres que réjouissantes pour ceux qui sont autour du terrain. Outre le fait d’avoir la désagréable surprise de se prendre un ballon en plein visage, les personnes travaillant pour les médias et disposées généralement derrière les buts sont elles aussi exposés aux missiles envoyés par les joueurs de football. Un photographe en a fait l’amère expérience. La Provence révèle que lors du match entre Brann et l’OM, un de ses photographes a reçu une frappe de Baky Koné directement sur son ordinateur portable. Résultat, l’appareil a été brisé net et a dû poser bien des problèmes au journaliste qui devait s’en servir pour envoyer au plus vite ses clichés à sa rédaction.